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ANI-MOT-LIRE
24 février 2006

CONCLUSION

Les connaissances, notions et compétences acquises lors du développement du langage oral ou de l’analyse visuelle des mots peuvent être réinvesties au niveau du langage de l'écrit et du code écrit, les activités menées en ce sens à l’école maternelle, sont donc de toute première importance.

Il est vrai que la plupart des difficultés listées dans le paragraphe intitulé l’Implicite, ont été constatées, aux différents niveaux de l’apprentissage et que des activités sont mises en place, en conséquence, mais beaucoup trop souvent de manière très ponctuelle et non systématique et non explicite. Très souvent si l’objectif est clair pour l’enseignant, il ne l’est pas pour l’enfant. Quelques explications avant et un bilan en fin de séance, permettraient que chacun, maître et élève, sache pourquoi et comment agir face aux problèmes posés par l’oral, l’image ou l’écrit, face à un mot, une phrase ou un texte écrit.

Si toutes les activités décrites sont particulièrement nécessaires aux 20% d’enfants pour lesquels des difficultés ou des manques ont été constatés, tous peuvent en bénéficier sans problème. Car il doit s’agir d’un travail collectif, d’une découverte par l’ensemble du groupe-classe du fonctionnement de notre système de lecture-écriture, si complexe tant du point de vue de l’apprentissage du code écrit que de la compréhension du langage écrit, qu’il nécessite d’être explicité clairement à tous, si l’on souhaite réellement former de vrais lecteurs.

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